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    Ambiente y territorio en el Magdalena Medio. Prácticas y procesos ambientales de la Asociación Campesina del Valle del Río Cimitarra que aportan a la sustentabilidad territorial de la Zona de Reserva Campesina

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    El arraigo, la defensa de la vida digna y del territorio, son expresiones propias del campesinado asentado en la Zona de Reserva Campesina del Valle del río Cimitarra (ZRC-VRC). Desde su constitución en 2002, la ZRC-VRC se ha configurado como un socio-ecosistema en el que se han desarrollado prácticas y procesos ambientales que han mejorado las condiciones de vida de la población, al tiempo que se han protegido y conservado los biomas presentes en el territorio. Dichas acciones se han enmarcado en lo que se ha denominado para esta tesis “Sustentabilidad territorial”, permitiendo el fortalecimiento del modelo territorial campesino que ha logrado resistir en el territorio en medio de una guerra que ha dejado cientos de impactos a los socio-ecosistemas de los que hace parte y que ha ayudado a construir la Asociación Campesina del Valle del río Cimitarra (ACVC), siendo esta la principal manifestación de la organización campesina en la región del Magdalena Medio y que vincula expresiones organizativas de diferentes escalas. Esta investigación estuvo centrada en el análisis de las prácticas y los procesos ambientales de la ACVC que contribuyen a la conservación dinámica de los socio-ecosistemas en la ZRC-VRC. El análisis se centró en dos procesos ambientales que, con sus prácticas, evidencian un aporte importante a la sustentabilidad territorial de la ZRC: la Línea Amarilla y la investigación comunitaria para la conservación. Entre las contribuciones a la sustentabilidad de estos dos procesos se resalta la protección y conservación de los ecosistemas de la Serranía de San Lucas, así como los humedales y las ciénagas; el fortalecimiento de la cultura campesina, que potencian prácticas ambientales; la protección a especies endémicas y en vía de extinción, así como el manejo integral del territorio en función de una territorialidad campesina que planifica teniendo en cuenta los factores ecosistémicos y culturales del entorno.Abstract: The Rooting, the defense of life with dignity and the territory are typical expressions of the peasantry settled in the Peasant Reserve Zone (PRZ) at the Cimitarra River Valley (PRZCRV). Since its establishment in 2002, the PRZ-CRV has been set as a socio-ecosystem in which environmental practices and processes have been developed that, at the same time, have improved the living conditions of the population, while protecting and conserving the biomes in the territory. These actions have been framed in what has been called for this thesis "Territorial Sustainability", allowing the strengthening of the territorial model of peasants that has managed to resist in the territory in the midst of a war that has left hundreds of impacts on the socio-ecosystems from they belong to and that have helped to build the Peasant Association of the Cimitarra River Valley (PACRV), which is the main manifestation of the peasant organization in the Magdalena Medio region and that links organizational expressions of different scales. This research focused on the analysis of environmental practices and processes of the PACRV that contribute to the dynamic conservation of socio-ecosystems in the PRZ-CRV. The analysis focused on two environmental processes that, with their practices, show an important contribution to the territorial sustainability of the PRZ: the Yellow Line and the community research for conservation. Among the contributions to the sustainability of these two processes, emphasis is placed on the protection and conservation of the ecosystems of the San Lucas mountain range, as well as wetlands and marshes; the strengthening of peasant culture, which promotes environmental practices; the protection of endemic and endangered species, as well as the integral management of the territory in function of a peasant territoriality that plans taking into account the environmental and cultural factors of the environment.Maestrí

    La selva de concreto : procesos de urbanización y planificación urbana en Florencia (Caquetá, Colombia)

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    Cette thèse porte sur les processus d’urbanisation et de planification urbaine qui ont lieu dans le nord-ouest de l’Amazonie colombienne depuis le XIXe siècle. La métaphore de la « jungle de béton » propose une image ambivalente qui synthétise un processus de transformation spatiale, celui de l’urbanisation de la jungle, à partir de deux signes opposés, montrant que les imaginaires mêmes de la « jungle » et de l’« urbain » contribuent à occulter ce processus. Dans la région étudiée, les recherches sur l’urbanisation et la planification urbaine sont encore rares et n'ont pas été menées de manière systématique, dans la discipline anthropologique. De plus, les études urbaines se sont intéressées presque exclusivement à la dynamique qui prévaut dans les grandes villes et les mégalopoles, alors que la majorité de la population humaine vit dans des villes petites ou moyennes, comme Florencia, où j'ai mené mon travail de terrain. Dans les sciences sociales, ces villes sont devenues « invisibles ». Partant de la notion de ville invisible, cette thèse développe une proposition démétropolisante et dé-coloniale qui s'éloigne de l’habituel occidentalo-centrisme des études urbaines. Cela implique de cesser de considérer l’urbanisation comme un processus inévitable et lié au « développement » démographique et économique. En outre, une distinction analytique est proposée entre deux modes de planification urbaine : la planification « d’en haut » et la planification « d’en bas ». La planification « d’en haut » est une pratique rationnelle et politique découlant du projet urbain hégémonique issu de l’État nation. La planification « d’en bas », qui n’est actuellement pas reconnue, positionne les habitants comme sujets individuels et collectifs, agents transformateurs et créateurs d’espace urbain. La thèse montre comment, dans la planification urbaine « d’en haut » et « d’en bas », la volonté de modernisation, le désir de préservation des écosystèmes, la nécessité de stimuler l’économie locale et les particularités socio-économiques des habitants de la ville s’entrecroisent. Cependant, les différentes façons dont ces éléments sont conçus et valorisés aboutissent à des visions et des actions qui, dans certains cas, coïncident et dans d’autres s’opposent et qui, finalement, produisent socialement l’espace urbain. v La planification urbaine est également considérée, dans la thèse, comme un « site de recherche stratégique » car elle touche toute la ville. Dans cette perspective, une approche multi-échelle est utilisée pour montrer les interrelations entre dynamiques « globales » et « locales ». Deux quartiers aux histoires et temporalités distinctes, Yapurá Sur et Paloquemao, ont été sélectionnés pour approfondir les manières dont la planification « d’en bas » peut émerger et s’exprimer. Par ailleurs, la cartographie sociale s’avère constituer un outil pertinent pour saisir les visions que les habitants de Florencia ont du présent, du passé et du futur de leur ville. Les résultats du travail ethnographique et de cartographie sociale réalisés dans le cadre de mes recherches montrent que la ville est une coproduction qui combine différentes formes de gouvernement et de rapports sociaux. Sur la base des cartes représentant la ville dans le futur, il est possible de conclure que les habitants de Florencia invitent à (re)penser le modèle urbain hégémonique et démontrent qu’une planification participative est non seulement possible mais nécessaire.This thesis addresses the processes of urbanization and urban planning that have occurred in the northwestern Colombian Amazon since the nineteenth century. The metaphor of the « concrete jungle » proposes an ambivalent image that synthesizes a process of spatial transformation, that of the urbanization of the jungle, starting from two contrasting signs, showing that imaginaries that oppose spatialities called the « jungle » and the « city » facilitate the concealment of this same process. In the region studied, research on urbanization and urban planning is still scarce and has not been systematic within the anthropological discipline. Moreover, urban studies have been interested almost exclusively in the dynamics that prevail in large cities and megalopolises, while the majority of the human population lives in small or medium-sized cities, such as Florencia, where I did my fieldwork. In the social sciences, these cities have become « invisible ». Starting from the notion of the invisible city, in this thesis, a de-metropolizing and decolonizing proposal is developed that distances itself from the usual western-centrism of urban studies. This implies stopping to consider urbanization as an inevitable process, linked to demographic and economic « development ». In addition, an analytical distinction is proposed between two modes of urban planning: « top-down » planning and « bottomup » planning. Planning « from above » is a rational and politically powerful practice related to the hegemonic urban project of the nation-state. Planning « from below », which is not currently recognised, positions inhabitants as individual and collective active subjects, transforming agents and creators of urban space. The thesis demonstrates how, in urban planning « from above » and « from below », the desire for modernization, the search for ecosystem preservation, the need to stimulate the local economy and the socioeconomic particularities of the city's inhabitants are intertwined. However, the different ways in which these elements are conceived and valued result in visions and actions that in some cases coincide and in others are opposed and that ultimately socially produce the urban space. vii Urban planning is also considered, in the thesis, as a « strategic research site » because it becomes an element that touches the whole city. Consequently, a multi-scale approach is used to show how global and local dynamics interact. Two districts of the city, Yapurá Sur and Paloquemao, were selected to explore in greater detail how planning « from below » is produced and expressed. Also, social cartography proved to be a relevant tool for capturing the visions of the present, past and future of the city from Florencia’s inhabitants. The results of the ethnographic and social cartography work carried out during my research show that the city is a co-production that combines different forms of government and social relations. Based on the maps representing the future of the city, it is possible to conclude that the inhabitants of Florencia invite us to (re)think about the hegemonic urban model and demonstrate that participatory planning is not only possible but necessary.Esta tesis aborda los procesos de urbanización y planificación urbana que se han dado en la Amazonia noroccidental colombiana a partir del siglo XIX. La metáfora de la selva de concreto, propone una imagen ambivalente que sintetiza un proceso de transformación espacial, el de la urbanización de la selva, a partir de dos signos con significantes opuestos, poniendo en evidencia que los imaginarios que contraponen espacialidades denominadas « selva » y « urbana » facilitan el ocultamiento de este mismo proceso. En la región estudiada, las investigaciones sobre urbanización y planificación urbana son todavía escasas y no han sido sistemáticas dentro de la disciplina antropológica. Además, los estudios urbanos se han interesado casi exclusivamente en las dinámicas que imperan en las grandes ciudades y megalópolis, mientras la mayoría de la población humana habita en ciudades pequeñas o medianas, como es el caso de Florencia, donde realicé mi trabajo de campo. En las ciencias sociales, estas ciudades se han vuelto « invisibles ». A partir de la noción de ciudad invisible, en esta tesis, se desarrolla una propuesta desmetropolizadora y descolonizante que se distancia del occidentalocentrismo usual de los estudios urbanos. Esto implica desnaturalizar la urbanización vista como un proceso inevitable, ligada al « desarrollo » demográfico y económico. Además, se propone una distinción analítica entre dos modalidades de planificación urbana: la planificación « desde arriba » y la planificación « desde abajo ». La planificación « desde arriba » es una práctica racional y de poder político que tiene nexos con el proyecto urbano hegemónico vinculado al Estado-nación. La planificación « desde abajo », la cual no tiene reconocimiento en la actualidad, posiciona a los habitantes como sujetos individuales y colectivos activos, agentes transformadores y creadores del espacio urbano. En la tesis, se demuestra cómo, en la planificación urbana « desde arriba » y « desde abajo », se entrecruzan el deseo de modernización, la búsqueda por la preservación ecosistémica, la necesidad de incentivar la economía local y las particularidades socio-económicas de los habitantes de la ciudad. Sin embargo, las distintas maneras en que se conciben y se valoran estos elementos dan como resultado visiones y acciones que en algunos casos coinciden y en otros se contraponen y que finalmente producen socialmente el espacio urbano. iii La planificación urbana es también considerada, en la tesis, como « sitio estratégico de investigación » al constituirse en un elemento que toca al conjunto de la ciudad. Se utiliza un enfoque multiescalar para mostrar las interrelaciones globales y locales. La cartografía social es una herramienta pertinente para captar las visiones sobre el presente, pasado y futuro que tienen los habitantes de Florencia. Dos barrios de la ciudad, Yapurá Sur y Paloquemao, se seleccionaron para conocer con mayor detalle cómo se produce y expresa la planificación « desde abajo ». Los resultados del trabajo etnográfico y de cartografía social realizados en el marco de mi investigación permiten mostrar que la ciudad es una co-producción que ensambla diferente formas de gobierno y relaciones sociales. Con base en los mapas sobre el futuro de la ciudad, es posible concluir que los habitantes de Florencia invitan a (re)pensar el modelo urbano hegemónico y demuestran que una planificación participativa no sólo es posible sino necesaria

    I Simposio anual de Patrimonio Natural y Cultural. ICOMOS España

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    El I Simposio anual de Patrimonio Natural y Cultural ICOMOS España persigue ofrecer a la comunidad española de expertos en patrimonio cultural y natural el foro idóneo para la presentación de las últimas investigaciones y desarrollos en el campo de la conservación, restauración, documentación, protección y difusión de los monumentos, conjuntos y sitios del patrimonio cultural. El Simposio plantea una mirada amplia, buscando el encuentro de diversas disciplinas y de diferentes tipos de profesionales como pueden ser arquitectos, historiadores, arqueólogos, historiadores del arte, geógrafos, antropólogos, restauradores, ingenieros, urbanistas, etc. El encuentro no se circunscribe únicamente a sitios Patrimonio Mundial sino que queda abierto a todo tipo de monumentos y sitios incluidos los patrimonios emergentes y en peligro, admitiéndose tanto estudios de caso como trabajos de síntesis y reflexión. No obstante, en su primera edición tendrán especial consideración aquellos temas vinculados con el patrimonio minero-industrial y con las cátedras UNESCO.Lerma García, JL.; Maldonado Zamora, A.; López-Menchero Bendicho, VM. (2021). I Simposio anual de Patrimonio Natural y Cultural. ICOMOS España. Editorial Universitat Politècnica de València. http://hdl.handle.net/10251/160242EDITORIA

    ¿Quién es el sujeto de la discapacidad? : Exploraciones, configuraciones y potencialidades

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    ¿ Quién es el sujeto de la discapacidad? Esta pregunta, formulada en términos generales, nos hermanaba en la búsqueda desde varias áreas del conocimiento, distintas tradiciones teóricas, diversas experiencias de vida y apuestas profesionales. Las precisiones fueron llegando como multiplicidad, desdoblamientos, devenires, matices y modos de problematización. Al mismo tiempo, surgió la necesidad de acompañar colectivamente el giro decolonial que estamos transitando y la crítica poscolonial que proponemos atravesar en nuestra producción colectiva. Si bien se trataba de una indagación exploratoria, resultó nutricia en tanto posibilidad de asumir revisiones críticas de las producciones de las que hemos sido parte. Este libro, es una aventura para profundizar en el análisis y generar entramados en saltos cualitativos en torno a las disputas que venimos sosteniendo sobre las nociones hegemónicas en las que se ha pensado la discapacidad.Facultad de Trabajo Socia
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